Maison Vigneronne

En plein cœur du vignoble champenois, le nom d’une famille résonne depuis neuf générations : Mandois. Fière gardienne de traditions ancestrales et résolument indépendante, notre Maison familiale a su rester fidèle à son esprit vigneron.

Un héritage champenois depuis 1735
Les premières traces de notre famille en Champagne remontent à l’année 1735 : à la fois artisan de la vigne et maître de l’art de la tonnellerie, Jean Mandois tisse les premiers fils de notre histoire multicentenaire.
Un nouveau chapitre s’ouvre au siècle suivant. Victor Mandois possède alors un domaine prospère à Epernay : dans son vignoble de 30 hectares, le talentueux vigneron se livre déjà à l’élaboration de cuvées qu’il commercialise auprès des négociants de la région…
De siècle en siècle, tradition et innovation façonnent l’empreinte vigneronne de la Maison Mandois.

L’ancrage d’une vision
En 1905, notre Maison s’enracine à Pierry, classé Premier Cru. Là, dans ce paisible bourg niché au sud-ouest d’Epernay, Victor-Auguste Mandois donne vie à sa vision novatrice du champagne en acquérant un pressoir et une cave au sein même de son domaine : un choix rare et précurseur pour son temps, qui lui permet de préserver l’expression de ses raisins jusqu’à leur métamorphose en vin.
Les caves séculaires de notre Maison s’étendent ainsi sous la nef de l’église du village où, depuis 1742, repose Frère Oudart. Le nom de cet humble gardien des vignes de la paroisse de Pierry reste indissociable de celui du légendaire Dom Pérignon, procureur de l’abbaye d’Hautvillers, dans l’une des plus belles aventures qui fut : la naissance des bulles champenoises…
Poursuivre l’œuvre de ses aïeux, dans laquelle la vigne et l’Homme ne font qu’un : tel est le credo de Claude Mandois.

Une neuvième génération en mouvement
Claude Mandois porte désormais le flambeau de l’esprit pionnier de notre Maison. Son inspiration, il l’a d’abord puisée auprès de son grand-père Henri, fils de Victor-Auguste, qui a vaillamment repris les rênes du domaine dans les années 1930.
Claude s’est également imprégné de chaque nuance de l’art viti-vinicole aux côtés de son père, Michel, disparu prématurément en 1987. Ce vigneron passionné a pris soin de développer son vignoble et d’orchestrer les plantations à partir de ses propres sélections massales entre 1950 et 1975. Cet héritage, précieux, Claude continue de le faire grandir avec ardeur et détermination. Millésime après millésime.